Par Dominique Salva, publié le

Lilian Greuze, mariée à tout prix

Lilian Greuze dans La Cruche cassée, Reutlinger (Paris), carte postale 2236, 1er quart du 20e siècle – Source Flickr

La Cruche cassée

En mai 1914, une jeune comédienne du nom de Lilian Greuze apparaît dans une saynète du nouveau spectacle de la Comédie des Champs-Élysées, La Revue cordiale. La scène reproduit La Cruche cassée, un tableau d’un artiste homonyme de l’actrice, le peintre Jean-Baptiste Greuze (1725-1805). Cette huile sur toile, qu’on peut voir au Louvre, a été réalisée vers 1771. En voici le descriptif : « Tableau ovale. Jeune fille en robe blanche décolletée, à manches ballons, tenant une brassée de roses dans un pan de son tablier, coiffée d’un ruban et trois fleurs, rose à la poitrine, écharpe (1) ». Une gentille petite figure. Mais il manque à cette description quelques détails importants. Et justement, dans les détails, c’est là que se cache le diable. D’abord, la jeune fille a le bras droit passé dans l’anse d’une cruche en terre ventrue, et largement cassée. Et puis elle a l’air un peu triste, son sein gauche est dénudé, deux fleurs en bouton piquent du nez dans son tablier, tandis que ses mains se crispent sur son bas-ventre, dont on ne sait pas très bien si elles le dissimulent ou si elles le protègent. Le philosophe Denis Diderot et d’autres ont vu dans cette scène une représentation de la perte de la virginité (2). Une interprétation crédible, quand on sait que Greuze a abordé ce thème dans d’autres tableaux aux titres évocateurs, comme Les Œufs cassés ou Une jeune fille qui pleure sur son oiseau mort.

Jean-Baptiste Greuze, La Cruche cassée, 1771-1772, INV 5036 ; MR 1779, département des Peintures © 2004 musée du Louvre / Angèle Dequier

Quelques photographies, réalisées par le studio Reutlinger et diffusées en cartes postales, donnent une idée de la personnification que Lilian Greuze a fait sur scène de la peinture. On retrouve à peu près tout : la robe blanche, le ruban et l’écharpe dérangée, les roses, la cruche éventrée, l’air mélancolique de la jeune fille et la position de ses mains. Seul le sein a été pudiquement recouvert, la photographie rendant sans doute cette nudité trop réelle. En 1914, le tableau de Jean-Baptiste Greuze était très connu (on le faisait figurer sur des boîtes d’allumettes), mais je me demande si tout le monde, par exemple au théâtre des Champs-Élysées, pouvait en saisir le sous-texte. Y compris Lilian Greuze elle-même.

Noms de jeune fille

J’ai retrouvé l’identité de Lilian Greuze grâce à une adresse donnée dans la presse (rue Angélique-Vérien, Neuilly-sur-Seine), un recensement de population, et quelques circonvolutions supplémentaires : elle est née de père et mère « non dénommés » le 23 janvier 1890 à Paris 8e sous un nom obscur, Jeanne Delagereuil. Elle n’a été légitimée que beaucoup plus tard, par le mariage de ses parents, ce qui lui a donné un nouveau nom : Jeanne Barroil. La mère, Sofia Jacoba Dittlof-Tjassens, est une Hollandaise née à Arnheim. Le père, Étienne Louis Henri Barroil, a vu le jour à Marseille. Négociant marié à une première femme en 1881 au Havre, il en a divorcé quelques jours après la naissance de la petite Jeanne. J’ai eu beau fouiller, je n’ai trouvé aucune explication à ce « Delagereuil ». S’il sonne juste, ce patronyme n’existe pourtant pas, en France ou ailleurs. Lagereuil est bien un lieu-dit de l’Indre, mais ça n’avance à rien. Est-ce une anagramme, une création (le D de Ditloff, la fin de Barroil) ? Je ne sais pas.

Les conditions dans lesquelles a grandi la fillette restent également mystérieuses. Dans le chapitre qu’il a consacré à Lilian Greuze dans Un demi-siècle de gloires théâtrales (3), le journaliste et peintre Michel Georges-Michel, dont je ne sais quel crédit il faut lui accorder, raconte qu’il a fait sa connaissance alors qu’elle déclamait de la poésie devant la Comédie-Française. Elle n’a que 15 ans et vit avec sa mère. Comme elle souhaite faire du théâtre, il la recommande au critique Catulle Mendès, qui l’envoie chez Sarah Bernhardt. La voilà engagée. En 1935, tandis que sa carrière théâtrale et cinématographique touchait à sa fin (4), Liliane Greuze a raconté dans une interview l’origine de son nom de scène : « D’abord, je descends très authentiquement d’une branche de la famille du peintre de la Cruche cassée. Deuxième raison : Sarah Bernhardt, amie de ma famille, a voulu être ma marraine. Un jour, cette géniale artiste m’a dit : ‘Tu cherches un nom de théâtre ? Tu ne peux pas en choisir un autre que celui-là : n’es-tu pas un vrai petit Greuze ?’ (5) » L’indication concernant son lien de parenté avec le peintre est suffisamment vague pour la rendre difficilement vérifiable. Michel Georges-Michel affirme que c’est lui qui a choisi le prénom Lilian, mais une autre hypothèse me semble plausible : en décembre 1905, durant un passage à New York, Sarah Bernhardt a fait la connaissance d’une actrice débutante, dont on ignore alors qu’elle va devenir une vedette du cinéma muet. Une autre Lilian, avec 2 L : Lillian Gish (6). On peut imaginer que la tragédienne, en rencontrant à son retour à Paris l’apprentie théâtreuse, s’est souvenue de l’Américaine : quasi même âge, même chevelure blonde et bouclée, même visage naïf et doux, qui lui fait penser aux demoiselles peintes par Greuze. De quoi fabriquer à sa petite protégée un avatar convaincant. À ses débuts, le prénom de Lilian Greuze est d’ailleurs parfois écrit avec 2 L (7).

Gil-Blas, 16 juillet 1906, p. 4 – Source Gallica

Lilian Greuze a une douzaine de rôles à son actif quand elle incarne la Cruche cassée en mai 1914. Un moment de sa vie qui n’est pas anodin. Le mois précédent, elle a reconnu comme sa fille une enfant, Colette, née deux ans plus tôt de parents « non dénommés », elle aussi. Comme si l’histoire se répétait. Mais si le père de l’enfant a fini par reconnaître et légitimer la petite Colette en 1921, il n’a pas pour autant épousé Lilian Greuze. Cet homme s’appelle René Nagelmackers. Issu d’une lignée de banquiers et industriels belges, administrateur de la Compagnie des wagons-lits qu’a fondée son père, il n’a probablement pas envie (ou la liberté) d’épouser une petite comédienne, fut-elle charmante comme Lilian. Lui, c’est dans la high society qu’il conclut ses alliances : sa première femme, Helen Alice, est la fille du baron anglais Davison Dalziel, un associé de son père ; veuf en 1910, Nagelmackers se remarie avec Gloria Mones Soujol, fille du marquis et de la marquise de Casa-Maury, en février 1914. Dans l’entre-deux, Colette est née de sa liaison avec Lilian Greuze. Je me demande à quoi pensait Lilian en posant pour La Cruche cassée, elle la « fille mère » dont l’ancien amant venait à nouveau de faire un beau mariage.

Des mariages de rêve

C’est un fait, la question du mariage s’est immiscée très tôt dans la vie de Lilian Greuze. Dès 1908 (alors âgée de 18 ans, elle est donc mineure), on lit dans Gil-Blas :

Gil-Blas, 24 novembre 1908, p. 3 – Source Gallica

Mais le mariage n’a jamais existé. L’entrefilet est un faux, peut-être fabriqué pour rendre un amant jaloux. Car Lilian Greuze est très vite devenue la maîtresse d’un riche industriel, qui l’a découverte dans une revue où elle jouait seins et cuisses dénudés. Eut-il vendu n’importe quoi d’autres, des bijoux, des meubles, des chaussures, leur histoire aurait eu un autre écho. Mais l’homme vendait du fromage. Ce qui a teinté d’ironie tous les commentaires à propos de leur relation. En témoigne le récit de leur rencontre, rapporté par Georges-Michel :

« – Je suis M. X°°°, le fabricant de fromages.

– Je regrette, je n’aime pas le fromage, répondit la jeune actrice.

– Vous avez pourtant un nom et un charmant visage qui évoquent La Laitière, répondit M. X°°°.

Mais M. X°°° fut si peu vexé, alors, qu’il renouvela ses visites, accompagné de menus ou précieux présents, et Lilian se laissa aller à ne plus dédaigner le fromage. »

Leur idylle fut aussi l’occasion, pour les mauvaises langues, de ressortir un calembour déjà en vogue au milieu du 19e siècle : « Voici une petite cruche casée ».

J’ai compris qui était l’amant grâce à d’autres potins, parus longtemps après, en 1930 (8) : on annonce que Lilian Greuze a épousé discrètement Jules Gervais, le grand « fromagier » (sic) bientôt octogénaire, et qui a donc le double de son âge. Il est le fils de Charles Gervais — le fondateur de la marque qui a fait fortune avec les petits-suisses — et vient lui-même de mettre sur le marché les tout nouveaux petits pots de glace. C’est un vrai monsieur, ancien député, sénateur, conseiller général et chevalier de la Légion d’honneur. La nouvelle du mariage est vite démentie par l’intéressé, de façon un peu prétentieuse : « Vous comprenez, dit-il, c’est inadmissible ! Dire que je me suis marié, passe encore, même si ce n’est pas vrai. Mais dire qu’il n’y avait personne à mon mariage, mon mariage à moi, qui connais tout Paris, ah ! non, alors, c’est plus fort que tout !…» Accessoirement, il oublie de préciser qu’il est déjà marié, depuis plus de 50 ans. Lilian Greuze, quant à elle, aurait « beaucoup ri » de cette fausse nouvelle. Je suppose qu’à l’époque l’identité de cet amant devait être, dans les milieux bien introduits, un secret de polichinelle. Les allusions ne manquaient pas d’ailleurs : « On a remarqué depuis quelques temps que la maison Gervais était très attirée vers les choses du théâtre » pouvait-on lire dans Le Carnet de la semaine, tandis que le magazine britannique The Tatler notait que LiIlian Greuze a un pied dans les affaires depuis que Gervais est devenu son « cavalier servant » (9).

Paris-Midi, 17 et 19 mars 1930 – Source Gallica

En 1931, c’est une autre fiction qui fait son apparition dans les journaux français à propos de Lilian Greuze : quelques articles sur la jeune Colette — devenue petit rat à l’Opéra sous le nom de Colette Sylva (10) — sont prétextes à raconter une nouvelle histoire au sujet de sa mère, dite désormais lady Fenlay. « Qui se douterait, à voir la jeune et jolie Sylvia [sic] suivre ponctuellement les répétitions au foyer de la danse à l’Opéra, que sa mère, lady Fenlay, fut une des personnalités les plus en vue de la gentry anglaise ? À la saison des chasses, ne louait-elle pas au roi son beau domaine, voisin de celui de lord Derby ? Hélas ! le fisc se montre, outre-Manche, encore plus âpre que chez nous. Les vieilles familles connaissent les pires restrictions. Il leur faut se débrouiller. Rien ne vaut, pour cela, de passer le détroit pour utiliser les dons que dame Nature vous donna ! (11)» Au passage il est dit que la jeune danseuse a une sœur, qui prend des leçons de chant et se produira bientôt sur les planches. Qu’est-ce que cette lady Fenlay ? Mystère. Ce nom n’apparaît nulle part dans la presse britannique de l’époque. Et on n’y trouve pas plus de lord Fenlay que de lady Fenlay, dont on n’a plus jamais entendu parler nulle part ensuite.

Colette Sylva dans Le Lutin de feu, Le Populaire, 16 octobre 1937, p. 6 – Source Retronews

Une vie au paradis

Jules Gervais est mort en 1933 sans avoir épousé Lilian Greuze. Mais elle a tout de même fini par se marier. Dans son autobiographie parue en 1959, Colette raconte les circonstances de cette union, née dans les travées de l’Opéra Garnier : « durant des années, [ma mère] trôna, bien en vue, au premier plan. Toujours vêtue de teintes vives, ses boucles blondes rayonnant comme une aurore autour d’un petit calot de paillettes scintillantes, [elle] était encadrée de deux « habitués », amis de longue date. […] Derrière le trio amical et familial, se tenait un spectateur de haute stature, au teint rose et frais, les cheveux blancs argentés : le Président d’une importante Société Industrielle. Ces Messieurs étaient du même Cercle. On fit les présentations. Bientôt, abandonnant une vie de célibataire bon vivant, le « Président » qui admirait depuis longtemps en silence le décolleté de « Madame », lui demanda si elle voulait bien qu’il devienne son époux… Il passa, de ce fait, du second au premier rang… Par la suite, il lui avoua que depuis qu’elle était entrée dans sa vie, celle-ci était devenue un Paradis… Un Paradis dont ma mère était l’oiseau charmant au plumage léger et coloré… C’est ainsi que l’Opéra me donna un beau-père… »

Lilian Greuze et Jean Debucourt, dans le dernier film où elle apparaît, Le Clown Bux de Jacques Natanson, Le Figaro, 10 mai 1935, p. 6 – Source Retronews

De cet homme, ingénieur et lui aussi chevalier de la Légion d’honneur (12), Lilian Greuze tient sa dernière identité : Jeanne Ziegler. Les époux n’eurent pas d’enfants, on était en 1954 et l’actrice désormais retraitée avait 64 ans. Le conte de fée était quand même un peu fané, comme les roses de La Cruche cassée. Lilian Greuze n’a pas échappé à la règle qui veut que le mariage renvoie les personnalités féminines à l’anonymat. Elle a encore vécu presque 30 ans, mais on n’a plus entendu parler d’elle. Elle est morte veuve le 23 juin 1983, à 93 ans, dans le 16e arrondissement de Paris.

Reste une question : pourquoi le mariage semble-t-il si important dans la vie de Lilian Greuze ? Deux suppositions me sont venues à l’esprit. La première tient à son histoire familiale. Quand j’écris qu’elle a été légitimée « beaucoup plus tard » par l’union de ses parents, ce n’est pas une formule en l’air : c’était en 1925 et l’actrice avait 35 ans. Pendant longtemps, elle a donc été « illégitime » et n’a, littéralement, porté le nom de personne, Delagereuil. Ce mariage tardif, c’est ce qui lui a donné une identité (13). La seconde raison tient à son statut de comédienne. Si d’honorables messieurs, comme Nagelmackers ou Gervais, se plaisaient à prendre des artistes de scène pour maîtresses, ils ne les épousaient pas. Et une grossesse n’y changeait rien. Dès le début de sa carrière, Lilian Greuze a dû en savoir quelque chose. Elle a peut-être longtemps couru après la respectabilité que lui aurait conféré un mariage. Un mariage pour réparer un peu les blessures de la cruche cassée.

Louis Figuier, Les Merveilles de l’industrie, Paris, Furne, Jouvet, [1873-1877], p. 174 – Source Fondo Antiguo de la Biblioteca de la Universidad de Sevilla, Flikr

Archives

Archives de Lilian Greuze et Colette Nagelmackers (Sylva) :

Acte de naissance n° 143, 26 janvier 1890, Paris 8e (avec mentions marginales de reconnaissance, mariage et décès), Archives de Paris (vue 26/31) ; acte de naissance n° 529, 12 juillet 1912, Paris 7e (avec mentions marginales de reconnaissances et de décès), Archives de Paris (vue 20/30) ; acte de reconnaissance n° 272, 9 avril 1914, Paris 7e, Archives de Paris (vue 12/31) ; acte de reconnaissance n° 42, 13 janvier 1921, Paris 7e, Archives de Paris (vue 14/31) ; acte de mariage n° 3060, 29 décembre 1925, Paris 17e, Archives de Paris (vue 26/28) ; recensement de population, Neuilly-sur-Seine, 1936, Archives départementales des Hauts-de-Seine (vue 17/494) ; acte de décès n° 1049, 23 juin 1983, Paris 16e, Archives de Paris (vue 2/31)

Archives de Jules Charles Gervais

Acte de mariage n° 440, 3 mai 1879, Paris 9e, Archives de Paris (vue 27/31) ; matricule n° 91338, dossier de la Légion d’honneur, base Léonore, Archives nationales (cote LH//1125/62) 🔗 ; acte de décès n° 334, 25 février 1933, Paris 8e, Archives de Paris (vue 4/31)

Archives de René Georges Albert Nagelmackers

Acte de naissance n° 550, 15 juillet 1878, Paris 16e (avec mentions marginales de reconnaissance et mariages), Archives de Paris (vue 20/31) ; mariage, 1903, Londres, England and Wales Marriage Registration Index, 1837-2005, 1903, quarter 4, vol. 1A, p. 938, St. George Hanover Square, London, England, General Register Office, Southport, England, FamilySearch ; « Deuil », The New York Herald. Paris, 22 décembre 1910, p. 5 🔗 ; acte de mariage n° 171, 10 février 1914, Paris 16e (avec mention marginale de dissolution), Archives de Paris (vue 9/31)

Archives de Paul Henri Ziegler

Acte de naissance n° 728, 22 avril 1874, Mulhouse (avec mentions marginales de mariage et de décès), Archives départementales du Haut-Rhin (vue 1274/1400) ; matricule n° 112896, dossier de la Légion d’honneur, base Léonore, Archives nationales (cote 19800035/1302/50343) 🔗

.

Notes

(1) La Cruche cassée de Jean-Baptiste Greuze, notice sur le site du musée du Louvre 🔗 (retour au texte ↑)

(2) Greuze, La Cruche cassée, 1771, Gallica Les Essentiels littérature, Bnf 🔗 (retour au texte ↑)

(3) Michel Georges-Michel, Un demi-siècle de gloires théâtrales, Paris, André Bonne, 1950, pp. 304-307 (retour au texte ↑)

(4) Voir sa notice Wikipédia pour le détail de ses rôles (retour au texte ↑)

(5) Roger Giron, « Une enquête auprès des écrivains et des artistes. Pourquoi avez-vous choisi un pseudonyme et comment l’avez-vous choisi ? Réponses de M. Gus Bofa, de Mlles Édith Méra et Lilian Greuze », La Liberté, 27 janvier 1935, p. 2 🔗) (retour au texte ↑)

(6) Charles Affron, Lillian Gish: Her Legend, Her Life, Simon & Schuster, 2001, p. 34 🔗 (retour au texte ↑)

(7) Ou bien Liliane, à la française. (retour au texte ↑)

(8) « Mariage discret », Le Carnet de la semaine, 9 mars 1930, p. 20 🔗 ; Fred Jacks, « Faut pas être comme ça !… », Confidences, 26 mars 1930, p. 1 🔗 (retour au texte ↑)

(9) Priscilla, « Priscilla in Paris », The Tatler, 13 avril 1932, p. 62 🔗 (retour au texte ↑)

(10) Colette Nagelmackers (Paris 7e, 1912-Paris 16e, 2007), danseuse sous le pseudonyme Sylva ou Colette Sylva, a publié deux livres : ses souvenirs, dans L’Opéra, les autres et moi (1959), puis un roman intitulé Domi (1960). (retour au texte ↑)

(11) « Vocation forcée », Aux écoutes, 21 mars 1931, p. 29 🔗 ; Georges Omer, « La fille de Lady Finlay grande dame de la cour d’Angleterre est danseuse à l’Opéra », Paris-midi, 18 avril 1931, p. 2 🔗 (retour au texte ↑)

(12) Paul Henri Ziegler (Mulhouse, 1874 – Muralto, Suisse, 1968), président de la Compagnie de construction mécanique procédés Sulzer (retour au texte ↑)

(13) Ce mariage tardif, où Lilian Greuze sert d’ailleurs de témoin à ses parents, n’est pas venu consacrer un concubinage établi : mari et femme n’habitaient pas ensemble. (retour au texte ↑)

Créez un site ou un blog sur WordPress.com